vendredi 29 juillet 2011

Il vaut mieux en rire

Je sens que vous êtes toutes impatientes là ... J'ai été trop occupée pour me soucier de la gente masculine, mais et comme toujours quelque chose m'a interpellé et je préviens des dangers de cette race. 

Me voilà prête à donner le choix à l'homme actuel, après 1 an et demi, envie d'avancer de voir où on va, choix simple je reprends un de ses désirs, officialisons cette relation allez je me sens prête, et si l'homme ne veut plus de ça passons à autre chose. Car qu'on se le dise je me lasse facilement, et là j'atteins le point de non retour. 

Et c'est à ce moment là, qu'un autre homme entre en jeu ... L'homme correspond tout à fait à mes critères, et je pense relation physique ni plus ni moins. Mais le nouveau cherche la femme de sa vie, et envisage le fait que ce soit moi. Euh première erreur chéri, tu me ne connais pas du tout et tu penses que je suis gentille. 

Je sais déjà que je vais te faire souffrir et tu vas tomber amoureux, et je vais te regarder sombrer puis souffrir. 

Mais comme je pense beaucoup en ce moment, je me dis allons y laissons lui une chance. Alors voilà il est sensé venir me voir, parce qu'évidemment on ne vit pas au même endroit. (Je vous ai déjà dit que je n'aimais pas les choses simples?!) 

Conscience qui me travaille, vais-je dire quoique ce soit à l'homme actuel, comment va-t-il réagir, cela en vaut il la peine? Et comme d'habitude, l'homme doit sentir ces choses car il redevient présent et est en attente et en demande. Je ne sais pas ce que je veux pourtant, le nouveau est chou, il rappelle à la surface le côté simple et gentil, je sais que cela ne dure jamais chez moi. 

Dilemme dilemme. 

Le jour J arrive, pas de nouvelles du nouveau, un petit tour sur un des réseaux sociaux pour me rendre compte qu'il poste régulièrement des statuts et flirt beaucoup trop, tout en clamant haut et fort qu'il cherche la femme de sa vie. 

Chéri tu me fais rire, vraiment. 

Tu es beaucoup trop jeune pour jouer à ce jeu avec moi. N'essaye pas tu vas définitivement te brûler les ailes, et je soufflerais dessus pour que tu t'embrases plus facilement. 
Je t'aurais prévenu. 

Xo
B

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